Jacqueline Doyen (1930-2006)
Actrice française, spécialisée dans les seconds rôles comiques, Jacqueline Doyen est décédée le 3 septembre 2006.
Jacqueline Doyen avait fait des apparitions dans des films dès le milieu des années 1950. Elle fut remarquée par Louis Malle qui lui donna des rôles dans Zazie dans le métro (1960) et Vie privée (1962). Toutefois sa carrière ne prit son essor que dans les années 1970, où elle fut un second rôle truculent chez Michel Audiard (Le Cri du cormoran le soir au-dessus des jonques, 1970 ou Comment réussir quand on est con et pleurnichard, 1974), Claude Berri (Sex-shop, 1972), Jean-Louis Bertucelli (On s’est trompé d’histoire d’amour, 1974 ; Docteur Françoise Gailland, 1975), Yves Boisset (Le Juge Fayard dit le Sheriff, 1977), Diane Kurys (Diabolo menthe, 1977 ; Coup de foudre, 1983), Philippe de Broca (Tendre poulet, 1978 ; Chouans !, 1988), Alexandre Arcady (Le Coup de Sirocco, 1979), Patrice Leconte (Viens chez moi, j’habite chez une copine, 1981) ou Jean-Marie Poiré (Twist again à Moscou, 1986). Toute une typologie du titre long, quoi ! Elle n’était plus apparue sur les écrans depuis une quinzaine d’années mais continuait de jouer au théâtre.
Jacqueline Doyen avait fait des apparitions dans des films dès le milieu des années 1950. Elle fut remarquée par Louis Malle qui lui donna des rôles dans Zazie dans le métro (1960) et Vie privée (1962). Toutefois sa carrière ne prit son essor que dans les années 1970, où elle fut un second rôle truculent chez Michel Audiard (Le Cri du cormoran le soir au-dessus des jonques, 1970 ou Comment réussir quand on est con et pleurnichard, 1974), Claude Berri (Sex-shop, 1972), Jean-Louis Bertucelli (On s’est trompé d’histoire d’amour, 1974 ; Docteur Françoise Gailland, 1975), Yves Boisset (Le Juge Fayard dit le Sheriff, 1977), Diane Kurys (Diabolo menthe, 1977 ; Coup de foudre, 1983), Philippe de Broca (Tendre poulet, 1978 ; Chouans !, 1988), Alexandre Arcady (Le Coup de Sirocco, 1979), Patrice Leconte (Viens chez moi, j’habite chez une copine, 1981) ou Jean-Marie Poiré (Twist again à Moscou, 1986). Toute une typologie du titre long, quoi ! Elle n’était plus apparue sur les écrans depuis une quinzaine d’années mais continuait de jouer au théâtre.
Etienne Mahieux
Rubriques :
Hommages,
Jacqueline Doyen
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