Jean-Claude Brialy (1933-2007)
Après avoir percé comme l’acteur par excellence de la Nouvelle Vague, Jean-Claude Brialy a mené une longue carrière d’acteur et de metteur en scène au cinéma comme au théâtre, évoluant petit à petit vers un travail plus conservateur. Figure importante du Tout-Paris, il est décédé le 30 mai 2007.
Issu d’une famille de militaires, Jean-Claude Brialy a vécu une jeunesse itinérante au gré des affectations de son père, puis du service militaire. Ma grand-mère garde un souvenir attendri d’un jeune homme, à Baden-Baden, au tournant des années 1950, qui se voyait un bel avenir artistique…
C’est son ami Pierre Lhomme, futur directeur de la photographie, et la « bande des Cahiers du cinéma » qui allait donner naissance à la Nouvelle vague qui lui font faire ses premiers pas. Jean-Claude Brialy est alors de tous les coups d’essai du groupe, et fait une apparition, pour son premier long-métrage, dans Elena et les hommes de leur maître Jean Renoir. C’est ainsi que, le succès venant très vite, il devient une image de la modernité cinématographique. Le grand public le découvre dans Le Beau Serge puis surtout Les Cousins de Claude Chabrol, où il se fait remarquer en séducteur cynique n’hésitant pas à arborer un uniforme nazi.
Il figure ainsi dans un grand nombre de films de Godard, Truffaut, Rivette ou Rohmer… Le succès venant, il accepte aussi des propositions venues du cœur de l’industrie. Jeune premier sympathique, et dont la légèreté naturelle fait merveille dans des rôles comiques, il donne la réplique à Jean-Pierre Cassel dans des films de Philippe de Broca ou Edouard Molinaro.
Guidé par l’amitié, l’admiration, mais aussi désormais par ses propres goûts, qui s’opposent au fond à ceux de ses premiers mentors, Jean-Claude Brialy ne dédaigne pas le boulevard. Passant derrière la caméra à l’approche de la quarantaine, il réalise des films charmants mais volontiers compassés, une tendance qui s’accentuera lorsque, travaillant de plus en plus souvent pour la télévision, il se spécialisera dans les adaptations littéraires ou théâtrales. Directeur de théâtres privés, mais aussi du Festival d’Anjou (la région de son enfance), il sera de préférence l’interprète de Feydeau, des textes surannés de Sacha Guitry, ou de ceux, toujours-déjà-surannés, de Françoise Dorin. Figure familière du public, Brialy devient dès lors une sorte de mémoire des milieux parisiens du spectacle. Dès ses premiers films, il songeait à donner des rôles à des étoiles oubliées comme Valentine Tessier ou Marie Bell…
Si Jean-Claude Brialy n’est pas pour l’histoire du cinéma un jeune premier éphémère, c’est que sa curiosité et son talent lui ont valu de participer, jusqu’à la fin du siècle, à de très belles aventures cinématographiques, où ses prestations remarquables enrichissent bien des films, fût-ce dans des rôles secondaires : Le Fantôme de la liberté, Le Juge et l’assassin, L’Effrontée, Les Innocents qui lui valut un César mérité, La Reine Margot où il est admirable en amiral de Coligny, seraient moins bons sans sa présence — toujours affûtée par le dialogue avec un bon directeur d’acteurs. Dès ses débuts de jeune vedette, Jean-Claude Brialy n’a jamais eu peur de tenir un second rôle, voire de faire une simple apparition (comme dans Les Quatre cents coups et tant d’autres films). Il était modeste, et content d’être de la partie.
Vous êtes de la police ? de Romuald Beugnon
2005 Quartier V.I.P. de Laurent Firode
Les Rois maudits de Josée Dayan (TV)
2004 People — Jet Set 2 de Fabien Onteniente
2003 Les Clefs de bagnole de Laurent Baffie
2002 Les Filles, personne s’en méfie de Charlotte Silvera
C’est le bouquet ! de Jeanne Labrune
2001 Concurrence déloyale de Ettore Scola
2000 Les Acteurs de Bertrand Blier
La Bicyclette bleue de Thierry Binisti (TV)
1999 Kennedy et moi de Sam Karmann
1998 Le Comte de Monte-Cristo de Josée Dayan (TV)
1996 Beaumarchais l’insolent d’Edouard Molinaro
Les Caprices d’un fleuve de Bernard Giraudeau
Vacances bourgeoises de J.C.B. (TV)
Portraits chinois de Martine Dugowson
1995 Une femme française de Régis Wargnier
Les Cent et une nuits de Simon Cinéma d’Agnès Varda
1994 La Reine Margot de Patrice Chéreau
Le Monstre de Roberto Benigni
1991 Août de Henri Herré
1990 S’en fout la mort de Claire Denis
Ripoux contre ripoux de Claude Zidi
Faux et usage de faux de Laurent Heynemann
1989 Comédie d’été de Daniel Vigne
1987 Lévy et Goliath de Gérard Oury
Les Innocents de André Téchiné
Maladie d’amour de Jacques Deray
1986 Grand guignol de Jean Marboeuf
Un homme et une femme, vingt ans déjà de Claude Lelouch
Inspecteur Lavardin de Claude Chabrol
1985 Le Mariage du siècle de Philippe Galland
L’Effrontée de Claude Miller
Le Quatrième pouvoir de Serge Leroy
Le Téléphone sonne toujours deux fois de Jean-Pierre Vergne
1984 Pinot simple flic de Gérard Jugnot
1983 Mortelle randonnée de Claude Miller
Cap Canaille de Juliet Berto et Jean-Henri Roger
Stella de Laurent Heynemann
La Crime de Philippe Labro
Papy fait de la résistance de Jean-Marie Poiré
Edith et Marcel de Claude Lelouch
Le Démon dans l’île de Francis Leroi
Sarah de Maurice Dugowson
1982 La Nuit de Varennes de Ettore Scola
1981 Les Uns et les autres de Claude Lelouch
Cinq-Mars de J.C.B. (TV)
1980 La Banquière de Francis Girod
1979 Le Maître-nageur de Jean-Louis Trintignant
1978 Robert et Robert de Claude Lelouch
1977 L’Imprécateur de Jean-Louis Bertucelli
Julie pot de colle de Philippe de Broca
Double délit de Steno
1976 Le Juge et l’assassin de Bertrand Tavernier
Un animal doué de déraison de Pierre Kast
L’Année sainte de Jean Girault
Barocco d’André Téchiné
1975 Catherine et Cie de Michel Boisrond
1974 Le Fantôme de la Liberté de Luis Buñuel
Un amour de pluie de J.C.B.
…comme un pot de fraises ! de Jean Aurel
1973 L’Oiseau rare de J.C.B.
1972 Un meurtre est un meurtre d’Etienne Périer
1971 Comment entrer dans la mafia ? de Steno
1970 Le Genou de Claire d’Eric Rohmer
Le Bal du Comte d’Orgel de Marc Allégret
1969 Tout peut arriver de Philippe Labro
1968 Caroline Chérie de Denys de la Patellière
Manon 70 de Jean Aurel
1967 Lamiel de Jean Aurel
La Mariée était en noir de François Truffaut
Un homme de trop de Costa-Gavras
Mademoiselle Mimi de Philippe de Broca (sketch du Plus vieux métier du monde)
1966 Le Mari d’Olga de Mario Monicelli (sketch de Nos Maris)
Le Roi de cœur de Philippe de Broca
1965 La Bonne occase de Michel Drach
La Mandragore de Alberto Lattuada
1964 La Chasse à l’homme d’Edouard Molinaro
Un monsieur de compagnie de Philippe de Broca
La Ronde de Roger Vadim
Comment épouser un premier ministre de Michel Boisrond
1963 Le Glaive et la balance d’André Cayatte
Carambolages de Marcel Bluwal
Château en Suède de Roger Vadim
1962 Cléo de 5 à 7 d’Agnès Varda
Adieu Philippine de Jacques Rozier
Le Diable et les dix commandements de Julien Duvivier
Arsène Lupin contre Arsène Lupin de Edouard Molinaro
Vie privée de Louis Malle
Les Petits matins de Jacqueline Audry
L’Education sentimentale de Alexandre Astruc
La Chambre ardente de Julien Duvivier
L’Avarice de Claude Chabrol (sketch des Sept péchés capitaux)
1961 Les Godelureaux de Claude Chabrol
Une femme est une femme de Jean-Luc Godard
Amours célèbres de Michel Boisrond
Les Lions sont lâchés de Henri Verneuil
1960 Le Gigolo de Jacques Deray
Tire-au-flanc 62 de Claude de Givray et François Truffaut
Paris nous appartient de Jacques Rivette
1959 Le Bel âge de Pierre Kast
Les Garçons de Mauro Bolognini
Les Cousins de Claude Chabrol
Les Quatre cents coups de François Truffaut
1958 Le Beau Serge de Claude Chabrol
L’Ecole des cocottes de Jacqueline Audry
Christine de Pierre Gaspard-Huit
Une histoire d’eau de Jean-Luc Godard et François Truffaut (c.m.)
Les Amants de Louis Malle
Les Surmenés de Jacques Doniol-Valcroze (c.m.)
1957 L’Ami de la famille de Jacques Pinoteau
Ascenseur pour l’échafaud de Louis Malle
Charlotte et Véronique ou Tous les garçons s’appellent Patrick de Jean-Luc Godard (c.m.)
Méfiez-vous fillettes de Yves Allégret
Un amour de poche de Pierre Kast
Le Tripoteur de Jacques Pinoteau
Tous peuvent me tuer de Henri Decoin
1956 Elena et les hommes de Jean Renoir
La Sonate à Kreutzer de Eric Rohmer (c.m.)
Le Coup du berger de Jacques Rivette (c.m.)
1954 Paris mon copain de Pierre Lhomme (c.m.)
2003 Les Parents terribles (TV)
1998 La Dame aux Camélias (TV)
1997 Georges Dandin de Molière (TV)
1996 Vacances bourgeoises (TV)
1995 Il ne faut jurer de rien (TV)
1983 Un bon petit diable
1981 Les Malheurs de Sophie
Cinq-Mars (TV)
1979 La Nuit de l’été (TV)
1974 Un amour de pluie
1973 Les Volets clos
L’Oiseau rare
1971 Eglantine
Issu d’une famille de militaires, Jean-Claude Brialy a vécu une jeunesse itinérante au gré des affectations de son père, puis du service militaire. Ma grand-mère garde un souvenir attendri d’un jeune homme, à Baden-Baden, au tournant des années 1950, qui se voyait un bel avenir artistique…
C’est son ami Pierre Lhomme, futur directeur de la photographie, et la « bande des Cahiers du cinéma » qui allait donner naissance à la Nouvelle vague qui lui font faire ses premiers pas. Jean-Claude Brialy est alors de tous les coups d’essai du groupe, et fait une apparition, pour son premier long-métrage, dans Elena et les hommes de leur maître Jean Renoir. C’est ainsi que, le succès venant très vite, il devient une image de la modernité cinématographique. Le grand public le découvre dans Le Beau Serge puis surtout Les Cousins de Claude Chabrol, où il se fait remarquer en séducteur cynique n’hésitant pas à arborer un uniforme nazi.
Il figure ainsi dans un grand nombre de films de Godard, Truffaut, Rivette ou Rohmer… Le succès venant, il accepte aussi des propositions venues du cœur de l’industrie. Jeune premier sympathique, et dont la légèreté naturelle fait merveille dans des rôles comiques, il donne la réplique à Jean-Pierre Cassel dans des films de Philippe de Broca ou Edouard Molinaro.
Guidé par l’amitié, l’admiration, mais aussi désormais par ses propres goûts, qui s’opposent au fond à ceux de ses premiers mentors, Jean-Claude Brialy ne dédaigne pas le boulevard. Passant derrière la caméra à l’approche de la quarantaine, il réalise des films charmants mais volontiers compassés, une tendance qui s’accentuera lorsque, travaillant de plus en plus souvent pour la télévision, il se spécialisera dans les adaptations littéraires ou théâtrales. Directeur de théâtres privés, mais aussi du Festival d’Anjou (la région de son enfance), il sera de préférence l’interprète de Feydeau, des textes surannés de Sacha Guitry, ou de ceux, toujours-déjà-surannés, de Françoise Dorin. Figure familière du public, Brialy devient dès lors une sorte de mémoire des milieux parisiens du spectacle. Dès ses premiers films, il songeait à donner des rôles à des étoiles oubliées comme Valentine Tessier ou Marie Bell…
Si Jean-Claude Brialy n’est pas pour l’histoire du cinéma un jeune premier éphémère, c’est que sa curiosité et son talent lui ont valu de participer, jusqu’à la fin du siècle, à de très belles aventures cinématographiques, où ses prestations remarquables enrichissent bien des films, fût-ce dans des rôles secondaires : Le Fantôme de la liberté, Le Juge et l’assassin, L’Effrontée, Les Innocents qui lui valut un César mérité, La Reine Margot où il est admirable en amiral de Coligny, seraient moins bons sans sa présence — toujours affûtée par le dialogue avec un bon directeur d’acteurs. Dès ses débuts de jeune vedette, Jean-Claude Brialy n’a jamais eu peur de tenir un second rôle, voire de faire une simple apparition (comme dans Les Quatre cents coups et tant d’autres films). Il était modeste, et content d’être de la partie.
Etienne Mahieux
- FILMOGRAPHIE SELECTIVE (ACTEUR)
Vous êtes de la police ? de Romuald Beugnon
2005 Quartier V.I.P. de Laurent Firode
Les Rois maudits de Josée Dayan (TV)
2004 People — Jet Set 2 de Fabien Onteniente
2003 Les Clefs de bagnole de Laurent Baffie
2002 Les Filles, personne s’en méfie de Charlotte Silvera
C’est le bouquet ! de Jeanne Labrune
2001 Concurrence déloyale de Ettore Scola
2000 Les Acteurs de Bertrand Blier
La Bicyclette bleue de Thierry Binisti (TV)
1999 Kennedy et moi de Sam Karmann
1998 Le Comte de Monte-Cristo de Josée Dayan (TV)
1996 Beaumarchais l’insolent d’Edouard Molinaro
Les Caprices d’un fleuve de Bernard Giraudeau
Vacances bourgeoises de J.C.B. (TV)
Portraits chinois de Martine Dugowson
1995 Une femme française de Régis Wargnier
Les Cent et une nuits de Simon Cinéma d’Agnès Varda
1994 La Reine Margot de Patrice Chéreau
Le Monstre de Roberto Benigni
1991 Août de Henri Herré
1990 S’en fout la mort de Claire Denis
Ripoux contre ripoux de Claude Zidi
Faux et usage de faux de Laurent Heynemann
1989 Comédie d’été de Daniel Vigne
1987 Lévy et Goliath de Gérard Oury
Les Innocents de André Téchiné
Maladie d’amour de Jacques Deray
1986 Grand guignol de Jean Marboeuf
Un homme et une femme, vingt ans déjà de Claude Lelouch
Inspecteur Lavardin de Claude Chabrol
1985 Le Mariage du siècle de Philippe Galland
L’Effrontée de Claude Miller
Le Quatrième pouvoir de Serge Leroy
Le Téléphone sonne toujours deux fois de Jean-Pierre Vergne
1984 Pinot simple flic de Gérard Jugnot
1983 Mortelle randonnée de Claude Miller
Cap Canaille de Juliet Berto et Jean-Henri Roger
Stella de Laurent Heynemann
La Crime de Philippe Labro
Papy fait de la résistance de Jean-Marie Poiré
Edith et Marcel de Claude Lelouch
Le Démon dans l’île de Francis Leroi
Sarah de Maurice Dugowson
1982 La Nuit de Varennes de Ettore Scola
1981 Les Uns et les autres de Claude Lelouch
Cinq-Mars de J.C.B. (TV)
1980 La Banquière de Francis Girod
1979 Le Maître-nageur de Jean-Louis Trintignant
1978 Robert et Robert de Claude Lelouch
1977 L’Imprécateur de Jean-Louis Bertucelli
Julie pot de colle de Philippe de Broca
Double délit de Steno
1976 Le Juge et l’assassin de Bertrand Tavernier
Un animal doué de déraison de Pierre Kast
L’Année sainte de Jean Girault
Barocco d’André Téchiné
1975 Catherine et Cie de Michel Boisrond
1974 Le Fantôme de la Liberté de Luis Buñuel
Un amour de pluie de J.C.B.
…comme un pot de fraises ! de Jean Aurel
1973 L’Oiseau rare de J.C.B.
1972 Un meurtre est un meurtre d’Etienne Périer
1971 Comment entrer dans la mafia ? de Steno
1970 Le Genou de Claire d’Eric Rohmer
Le Bal du Comte d’Orgel de Marc Allégret
1969 Tout peut arriver de Philippe Labro
1968 Caroline Chérie de Denys de la Patellière
Manon 70 de Jean Aurel
1967 Lamiel de Jean Aurel
La Mariée était en noir de François Truffaut
Un homme de trop de Costa-Gavras
Mademoiselle Mimi de Philippe de Broca (sketch du Plus vieux métier du monde)
1966 Le Mari d’Olga de Mario Monicelli (sketch de Nos Maris)
Le Roi de cœur de Philippe de Broca
1965 La Bonne occase de Michel Drach
La Mandragore de Alberto Lattuada
1964 La Chasse à l’homme d’Edouard Molinaro
Un monsieur de compagnie de Philippe de Broca
La Ronde de Roger Vadim
Comment épouser un premier ministre de Michel Boisrond
1963 Le Glaive et la balance d’André Cayatte
Carambolages de Marcel Bluwal
Château en Suède de Roger Vadim
1962 Cléo de 5 à 7 d’Agnès Varda
Adieu Philippine de Jacques Rozier
Le Diable et les dix commandements de Julien Duvivier
Arsène Lupin contre Arsène Lupin de Edouard Molinaro
Vie privée de Louis Malle
Les Petits matins de Jacqueline Audry
L’Education sentimentale de Alexandre Astruc
La Chambre ardente de Julien Duvivier
L’Avarice de Claude Chabrol (sketch des Sept péchés capitaux)
1961 Les Godelureaux de Claude Chabrol
Une femme est une femme de Jean-Luc Godard
Amours célèbres de Michel Boisrond
Les Lions sont lâchés de Henri Verneuil
1960 Le Gigolo de Jacques Deray
Tire-au-flanc 62 de Claude de Givray et François Truffaut
Paris nous appartient de Jacques Rivette
1959 Le Bel âge de Pierre Kast
Les Garçons de Mauro Bolognini
Les Cousins de Claude Chabrol
Les Quatre cents coups de François Truffaut
1958 Le Beau Serge de Claude Chabrol
L’Ecole des cocottes de Jacqueline Audry
Christine de Pierre Gaspard-Huit
Une histoire d’eau de Jean-Luc Godard et François Truffaut (c.m.)
Les Amants de Louis Malle
Les Surmenés de Jacques Doniol-Valcroze (c.m.)
1957 L’Ami de la famille de Jacques Pinoteau
Ascenseur pour l’échafaud de Louis Malle
Charlotte et Véronique ou Tous les garçons s’appellent Patrick de Jean-Luc Godard (c.m.)
Méfiez-vous fillettes de Yves Allégret
Un amour de poche de Pierre Kast
Le Tripoteur de Jacques Pinoteau
Tous peuvent me tuer de Henri Decoin
1956 Elena et les hommes de Jean Renoir
La Sonate à Kreutzer de Eric Rohmer (c.m.)
Le Coup du berger de Jacques Rivette (c.m.)
1954 Paris mon copain de Pierre Lhomme (c.m.)
- FILMOGRAPHIE SELECTIVE (CINEASTE)
2003 Les Parents terribles (TV)
1998 La Dame aux Camélias (TV)
1997 Georges Dandin de Molière (TV)
1996 Vacances bourgeoises (TV)
1995 Il ne faut jurer de rien (TV)
1983 Un bon petit diable
1981 Les Malheurs de Sophie
Cinq-Mars (TV)
1979 La Nuit de l’été (TV)
1974 Un amour de pluie
1973 Les Volets clos
L’Oiseau rare
1971 Eglantine
Rubriques :
Hommages,
Jean-Claude Brialy
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